L'accord a été signé entre le secrétaire d'Etat belge à la mobilité Etienne Schouppe et son homologue français Dominique Bussereau. Il porte sur l'échange d'informations et de données entre les services d'immatriculation des deux pays. Les registres de plaques minéralogiques pourront ainsi être consultés par la biais d'internet. Cela signifie qu'un Belge ayant commis une infraction en France sera désormais poursuivi. Finie la belle impunité qui prévalait jusqu'ici ! Le raisonnement vaut aussi pour les Français dont la plaque d'immatriculation est immortalisée par un radar belge. A bon entendeur...